Génie génétique
I. Introduction
Différentes ARN : ARNt, ARNr, ARNm et les petits ARN( jouent un rôle dans la
régulation des processus de transcriptions et de traduction).
Ce processus de réplication se fait à l’identique. Mais il y a des modifications qui
surviennent dans les patrimoines génétiques et ces modifications sont de
plusieurs origines : mutations. Les origines de ces modifications sont la
réplication, des agents extérieurs aux cellules (UV, perturbateurs endocriniens),
et des éléments mobiles (transposons).
La conjugaison bactérienne consiste en un échange de plasmide de bactérie à
bactérie -> transfert horizontal (différente du transfert vertical).
Le génie génétique est né dans les années 70. Il est associé à l’ADN recombinant
(= recomposé une molécule d’ADN en associant entre elles des portions d’ADN
de provenance diverses). Pour faire la recombinaison d’ADN, on a besoin de deux
types d’outils moléculaire :
- enzymes de restriction (endonucléases : couper des acides nucléiques).
Elles ont un site spécifique (séquence particulière dans l’ADN) et elles coupent au
niveau de ces sites.
Ex : EcoRI qui reconnaît :
Ce sont des outils de défense qui coupent le matériel génétique exogène et
limitent les conséquences que cela pourrait avoir sur le fonctionnement de la
bactérie.
Les bactéries qui produisent l’enzyme EcoRI ont un génome qui est protégé
contre l’action de leur enzyme de restriction. Les sites de restriction sur le
chromosome ou le plasmide bactérien sont méthylés (mis en place par des
méthylases) pour empêcher la reconnaissance des sites de restriction par les
enzymes de restriction.
- ADN ligase : elle consomme de l’ATP car elle doit créer une liaison
phosphodiester.
1989 : Commission du génie biologique remplacée par le Haut conseil de
biotechnologie depuis 2009.
Définition du génie génétique : on prend un fragment d’ADN que l’on introduit
dans une cellule étrangère avec 3 objectifs possibles : un objectif de
multiplication à grande échelle de la molécule d’ADN introduite dans la cellule,
faire en sorte que cette molécule d’ADN soit transcrite et donne naissance à la
protéine qui code, et que pour que cette molécule d’ADN soit transcrite mais pas
traduite une fois dans la cellule étrangère pour donner naissance à des ARN
I. Introduction
Différentes ARN : ARNt, ARNr, ARNm et les petits ARN( jouent un rôle dans la
régulation des processus de transcriptions et de traduction).
Ce processus de réplication se fait à l’identique. Mais il y a des modifications qui
surviennent dans les patrimoines génétiques et ces modifications sont de
plusieurs origines : mutations. Les origines de ces modifications sont la
réplication, des agents extérieurs aux cellules (UV, perturbateurs endocriniens),
et des éléments mobiles (transposons).
La conjugaison bactérienne consiste en un échange de plasmide de bactérie à
bactérie -> transfert horizontal (différente du transfert vertical).
Le génie génétique est né dans les années 70. Il est associé à l’ADN recombinant
(= recomposé une molécule d’ADN en associant entre elles des portions d’ADN
de provenance diverses). Pour faire la recombinaison d’ADN, on a besoin de deux
types d’outils moléculaire :
- enzymes de restriction (endonucléases : couper des acides nucléiques).
Elles ont un site spécifique (séquence particulière dans l’ADN) et elles coupent au
niveau de ces sites.
Ex : EcoRI qui reconnaît :
Ce sont des outils de défense qui coupent le matériel génétique exogène et
limitent les conséquences que cela pourrait avoir sur le fonctionnement de la
bactérie.
Les bactéries qui produisent l’enzyme EcoRI ont un génome qui est protégé
contre l’action de leur enzyme de restriction. Les sites de restriction sur le
chromosome ou le plasmide bactérien sont méthylés (mis en place par des
méthylases) pour empêcher la reconnaissance des sites de restriction par les
enzymes de restriction.
- ADN ligase : elle consomme de l’ATP car elle doit créer une liaison
phosphodiester.
1989 : Commission du génie biologique remplacée par le Haut conseil de
biotechnologie depuis 2009.
Définition du génie génétique : on prend un fragment d’ADN que l’on introduit
dans une cellule étrangère avec 3 objectifs possibles : un objectif de
multiplication à grande échelle de la molécule d’ADN introduite dans la cellule,
faire en sorte que cette molécule d’ADN soit transcrite et donne naissance à la
protéine qui code, et que pour que cette molécule d’ADN soit transcrite mais pas
traduite une fois dans la cellule étrangère pour donner naissance à des ARN