L12 : La réaction inflammatoire
T3 C1
I/ Immunité innée et Immunité adaptative :
Réponse immunitaire innée apparue il y a 800 ma. Elle est fondée sur le
fait que cell immunitaires présentent des récepteurs capables de
reconnaître des motifs moléculaires communs à de nbeux micro-
organismes et très conservés au cours de l’évo°. Elle est génétiquement
héritée, opérationnelle dès la naissance et ne nécessite aucun
apprentissage. Son mode d’action est non spécifique.
Réponse adaptative + récente (-400 MA), n’est présente que chez
vertébrés, s’ajoute à la réponse innée & dote les org d’une gde diversité
de récepteurs adaptés aux diff microbes → spécifique des micro-org
rencontrés & se met en place dès la 1ère rencontre.
Les cellules de l’immunité sont des cellules spécialisées pour la :
- réponse innée : cell impliquées résident ds tissus (macrophage,
cell dendritique et mastocyte) ou ds sang (granulocyte). Leur rôle de
sentinelle leur permet de repérer les microbes pathogènes.
- réponse adaptative : lymphocytes B et T spécifiques présents en
permanence ds le sang & la lymphe.
II/ La réaction inflammatoire : la première ligne de
défense :
Réac° inflammatoire s’accompagne d’une rougeur, sensa° de chaleur
avec gonflement et douleur : due à une vasodilata° avec afflux de sang
et sortie du plasma responsable du gonflement. La douleur est la csq de
la stimula° de récepteurs sensoriels spécifiques (nocicepteurs) localisés
ds la peau, les muscles et les articulations : une substance chimique, la
prostaglandine, libérée par les tissus atteints déclenche l’émission des
messages nerveux acheminés jusqu’au cerveau.
Lésion des tissus → déclenche la libéra° par les mastocytes de
l’histamine commune à tous les tissus → qui entraîne la vasodilata°.
Les cell de l’immunité innée possèdent une collec° de récepteurs PRR
leur donnant la capacité de reconnaître la maj des motifs moléculaires
communs à de nbeux micro-org.
Une fois l’agent pathogène reconnu, les cell de l’immunité libèrent diff
substances chimiques pour amplifier la réponse : les chimiokines
attirent les autres cell de l’inflammation et les cytokines les activent et
déclenchent la phagocytose.
Phagocytose : 1ère réponse mise en place. Particule à ingérer reconnue
grâce à ses récepteurs PRR → est entourée par prolongements
cytoplasmiques du phagocyte → est englobée dans une vacuole → puis
digérée.
III/ Préparation de la réponse adaptative :
Rôle des cell dendritiques présentes ds tous tissus (sauf le cerveau) et
possédant de très longs prolongements cytoplasmiques riches en PRR,
T3 C1
I/ Immunité innée et Immunité adaptative :
Réponse immunitaire innée apparue il y a 800 ma. Elle est fondée sur le
fait que cell immunitaires présentent des récepteurs capables de
reconnaître des motifs moléculaires communs à de nbeux micro-
organismes et très conservés au cours de l’évo°. Elle est génétiquement
héritée, opérationnelle dès la naissance et ne nécessite aucun
apprentissage. Son mode d’action est non spécifique.
Réponse adaptative + récente (-400 MA), n’est présente que chez
vertébrés, s’ajoute à la réponse innée & dote les org d’une gde diversité
de récepteurs adaptés aux diff microbes → spécifique des micro-org
rencontrés & se met en place dès la 1ère rencontre.
Les cellules de l’immunité sont des cellules spécialisées pour la :
- réponse innée : cell impliquées résident ds tissus (macrophage,
cell dendritique et mastocyte) ou ds sang (granulocyte). Leur rôle de
sentinelle leur permet de repérer les microbes pathogènes.
- réponse adaptative : lymphocytes B et T spécifiques présents en
permanence ds le sang & la lymphe.
II/ La réaction inflammatoire : la première ligne de
défense :
Réac° inflammatoire s’accompagne d’une rougeur, sensa° de chaleur
avec gonflement et douleur : due à une vasodilata° avec afflux de sang
et sortie du plasma responsable du gonflement. La douleur est la csq de
la stimula° de récepteurs sensoriels spécifiques (nocicepteurs) localisés
ds la peau, les muscles et les articulations : une substance chimique, la
prostaglandine, libérée par les tissus atteints déclenche l’émission des
messages nerveux acheminés jusqu’au cerveau.
Lésion des tissus → déclenche la libéra° par les mastocytes de
l’histamine commune à tous les tissus → qui entraîne la vasodilata°.
Les cell de l’immunité innée possèdent une collec° de récepteurs PRR
leur donnant la capacité de reconnaître la maj des motifs moléculaires
communs à de nbeux micro-org.
Une fois l’agent pathogène reconnu, les cell de l’immunité libèrent diff
substances chimiques pour amplifier la réponse : les chimiokines
attirent les autres cell de l’inflammation et les cytokines les activent et
déclenchent la phagocytose.
Phagocytose : 1ère réponse mise en place. Particule à ingérer reconnue
grâce à ses récepteurs PRR → est entourée par prolongements
cytoplasmiques du phagocyte → est englobée dans une vacuole → puis
digérée.
III/ Préparation de la réponse adaptative :
Rôle des cell dendritiques présentes ds tous tissus (sauf le cerveau) et
possédant de très longs prolongements cytoplasmiques riches en PRR,
