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Essays de literature sur Candide ( French essays on Candide)

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French

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12th Grade

This document provides intensive fully-written essays on certain themes of Candide such as religion, war, women or optimism. It includes quotations for support and personal analysis. Ce document fournit des essais intensifs entièrement écrits sur certains thèmes de Candide tels que la religio...

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Aperçu 2 sur 7 pages

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Publié le 16 mars 2023
Nombre de pages 7
Écrit en 2022/2023
Type Interview
Compagnie Inconnu
Personne Inconnu

la guerre
religion
candide
la femme
essays
loptimisme
leldorado

Établissement Lycée
Cours
French
Année scolaire 8

6,37 €

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CANDIDE OU L’OPTIMISME

Annotations de Candide.

La Religion est un thème important dans le texte qui demande une évaluation complexe.
Certes, la satire de la religion était une des raisons qu’avait Voltaire d’écrire ce conte
optimiste.

Comment Voltaire critique la religion dans Candide ?

Voltaire publie Candide en 1759, époque où la religion avait une place importante pour les lumières.
Dans son conte, il mène son combat contre l’obscurantisme religieux, dénonçant l’hypocrisie incarnée
par l’Eglise. Il incombe ainsi d’analyser pourquoi et comment Voltaire réussi à critiquer les maux
religieux de son époque. [48]

Voltaire dénonce que l’Eglise ne respecte pas ses dogmes. Il mène une critique contre la sexualité des
gens d’Eglise qui sont pourtant obliger d’être vierges. Tandis qu’un cordelier transmet la syphilis a
paquette en ayant des relations sexuelles avec elle, le père de la vielle, fille d’un Pape ne respecte pas
son vœu d’abstinence. Voltaire montre que si ces derniers, qui sont sensé rapporté la parole de Dieu ne
respecte pas leur parole, nous ne pouvons pas vraiment les faire confiance. Effectivement, Candide
découvre qu’on ne peut pas compter sur eux pour recevoir de l’aide. Quand Candide était en Hollande,
un religieux protestant refuse de lui donner à manger l’appelant « coquins » parce- qu’il ne croyait pas
que le pape soit anti-christ. Cependant, Jacques homme non-baptisé lui donne a mangé et offre don
hospitalité. Cela démontre l’intolérance religieuse ou les autorités religieux ne font pas preuve
d’empathie pour les autres enfants de Dieu tandis que les non-religieux ont plus d’humanité. Cette
cruauté envers son prochain est aussi souligné à travers l’autodafé qui est organisé pour « brûlées à
petit feux » les hermétisme. Voltaire s’attaque ainsi, contre la politique de son époque qui réglé leur
conflit au prix des vies humaines.

Voltaire utilise le thème de l’esclavage pour démontrer l’ultime tyrannie de l’Eglise. L’auteur utilise la
satire quand un esclave negre se fait mutiler et exploiter par « honneur » de servir les seigneurs. Devant
une telle absurdité et racisme, le naïve Candide évolue et réalise enfin que dans un monde avec autant
de malheurs, tout ne peut pas être « au mieux ». Alors, il se de-sentimentalise enfin du contrôle
hégémonique de Pangloss : « Il faudra qu’a la fin je renonce à ton optimisme ». Ainsi, Voltaire s’élève
contre la philosophie de l’optimisme. Il critique ici la pensé de Pangloss, porte-parole de Leibniz que
comme Dieu est Parfait, il a nécessairement créé « le meilleur des mondes ». Car c’est tout le contraire ;
tout va mal dans le livre. Depuis pillages, massacres, guerre, autodafé, tremblement de terre, femme
violé et maladies, Voltaire énumère une série de malheurs pour démontrer que clairement on vit dans
le pire des mondes possibles. Traditionnellement, la religion devrait être un avre de paix ou Dieu
montre sa grâce au bon mais ironiquement, personne dans le roman ne reçoit la justice divine. Quand
jacques l’anabaptiste aide un marin à remonter sur le bateau, le marin l’entraine a l’eau. Alors, le bon
anabaptiste au lieu d’être récompensé meurt tandis que le mauvais marin survit.

Tout en rejetant explicitement les ethnocentrismes, Voltaire n’avait pas moins été victime de ses
propres préjugés religieux. Dans l’Eldorado, le vieil homme, porte-parole de Voltaire dit qu’il ne devrait
avoir qu’une seule religion, celle de « tout le monde ». Il fait référence ici au déisme- la croyance qu’il
n’y a qu’un Dieu qui a créé l’univers mais il n’a pas de livres sacrées qui gouverne le libre arbitre. Un
monde ou une seule religion- le déisme- règne n’est pas une solution réaliste face aux conflits entre

, religions. Dans le roman tout comme les jésuites, les juifs, les chrétiens se battent pour que leurs
croyances soient reconnues comme ‘absolue’, Voltaire fait la même chose en essayant d’universaliser le
déisme. Les lecteurs sont ainsi forcés de prendre une distanciation critique. [128]

En conclusion, Voltaire dépeint une triste vérité : la religion est utilisée hypocritement par l’Eglise. Les
lecteurs se demandent dans tous sa ou est le bon ? Où est le meilleur des mondes possibles ?

Voltaire critique aussi la guerre dans Candide :

Voltaire utilise la satire pour dénoncer la réalité de la guerre. En effet, il présente cette acte de violent
comme un spectacle avec les canons, les tambours, les trompettes qui donnait au champs de bataille un
air « si beau, si lest, si brillant, si ordonnée ». Les quatre adjectifs harmonieux « beau », « lest »,
« brillant », « ordonné » intensifiés par « si » donne une image harmonieuse de la guerre. Cependant,
ce beau tableau se voit satirisé et ruiné avec la description des horreurs bien réel de la guerre comme
« femmes égorgées », « filles éventrées », « jambes coupés ». Voltaire dénonce alors l’imbécilité de
croire dans l’idiome que nous vivons dans « le meilleur des mondes possible ». Ici la philosophie de
l’optimisme de Pangloss, le porte-parole de Leibniz est décrédibilisé par une panoplie d’atrocités.
L’idéologie de Leibniz que comme Dieu est Parfait, le monde doit l’être aussi en dépit des choses
comme la guerre qui prouve le mal, désillusionne les lecteurs que le monde est absolument bon.

Dans ce roman, Candide passe d’un pays a l’autre et Candide voit effectivement que la guerre est
partout que ce soit entre la Turquie et la Russie, les Jésuites et les Espagnols ou la France et
L’Angleterre, Voltaire universalise le thème de la guerre. Toutefois, ce qui est intéressant c’est que
Candide raconte d’un point de vue neutre. Nulle part il dit qu’il est d’accord avec les autorités de guerre
ou qu’il a pitié des victimes. Cette absence de parti renforce effectivement l’inutilité de la guerre. La
guerre ne peut changer la société ou amener à la paix ; elle n’apporte que la haine et ainsi est inutile.
On voit cela quand un soldat Français se fait exécuter pour ne pas avouer tue assez d’Anglais.
L’absurdité de la guerre crée ainsi une distanciation critique qui désillusionne les lecteurs de sa
positivité.

On constate que dans la logique de la guerre, quelques milliers de morts laissent indifférents. En effet,
Voltaire présente les morts à travers des approximations qui les déshumanise : « six milles hommes »,
« une trentaine de mille », « neuf à dix milles coquins qui infectaient la surface ». Les lexiques coquins
et infectaient associent les victimes a des parasites nuisibles dont l’élimination est bénéficielle. Alors,
les rois loin de protéger les plus faibles, organisent pillages et massacres ‘pour le bien du public’.
Voltaire attaque la politique de son époque où les autorités réglés leurs conflits au prix de sacrifices
humaines. Candide peut ainsi être prit comme un œuvre de tous-temps car même dans notre société
contemporaine, les figure d’autorités maintient le pouvoir en dépit des abus que subit la population.

De plus, Voltaire dénonce aussi l’utilisation de la religion pour justifier les actes barbares. La citation «
les deux rois faisaient chanter des te deum chacun dans son camp » est satirisé. Le te deum, chant de
grâce pour remercier Dieu est ironiquement chanté pour remercier Dieu de les avoir donnés la chance
de s’entretuer. Cela ne correspond pas aux valeurs Chrétienne des Bulgares car meurtre est un des sept
péchés sacrés. Voltaire démontre ainsi, comment les vraies valeurs religieuses sont perverties pour les
besoins cruels de l’homme.

En conclusion, Voltaire utilise le thème de la guerre pour critiquer la mauvaise tendance que l’homme
a de se battre contre les uns et les autres. Voltaire veut que la civilisation progresse et ainsi dénonce les
dangers de la guerre pour l’humanité.

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