Chapitre 3: La domestication des plantes.
Introduction.
Plantes = à la base de l’alimentation humaine de façon directe / indirecte→ ressources ds ≠ domaines : énergie,
habillement, médecine...
Utilisation des plantes par l’H = longue histoire, qui va des pratiques empiriques à la mise en œuvre des technologies les
plus modernes. => Domestication, conséquences sur les plantes + pop humaines.
I/ Domestiquer les espèces végétales sauvages pour les optimiser.
a) Un exemple : la domestication de la carotte.
- Observation à l'échelle macroscopique :
Racine C.S = très lignifiée (bois = xylème), grêle + blanche.
Racine C.C = peu lignifiée, très développée + orange.
- Bilan :
C.C = qualités nutritives (tubercule + gros) et gustatives (- de lignine) intéressantes.
- Observation à l'échelle moléculaire :
Couleur orange = au pigment : β carotène (+ chez la C.C, - chez la C.S).
Carotène = synthétisé grâce à un grp d’enzymes : PSY.
Les 2 gènes la codant = présents chez les 2 mais l’intensité de leur expression est ≠.
- Bilan :
Vision : H a besoin de carotène à partir duquel son organisme peut produire de la vitamine A.
H a sélectionné les carottes produisant le plus de carotènes.
b) L'évolution des techniques de sélection.
1) Une sélection empirique.
-11 000 ans : début culture plantes sauvages. Plantes cultivées ont divergé du pdv génétique sous l’effet des pratiques
culturales : processus de domestication / sélection artificielle.
Domestication d’une espèce = processus de sélection artificielle de caractères génétiques.
→ H a favorisé la reproduction de plantes avc caractères intéressants : sélection phénotypique.
En récoltant, sélectionnant les graines, utilisant c^ semences => modif de géné en géné les caractéristiques des espèces
cultivées.
Sélection empirique repose sur l’observation + tri des semences par les agriculteurs.
→ Plantes sauvages → domestiquées + dépendante de l’H pr leur reproduction + dvlpt.
→ Domestication a sédentarisé les H.
Sélection s’est fait lors de l’établissement d’une relation mutualiste entre plantes + H.
Espèces domestiquées permet la sélection artificielle. Sélection naturelle aboutit, pr une espèce domestiquée, à pls
variétés avc ≠ caractéristiques selon régions + techniques agricoles.
→ Biodiversité des plantes cultivées, importante car constitue une ressource génétique.
2) Hybridation et sélection programmée.
19/20è : transformation pratiques agricoles (industrialisation +
↗ rendements) => abandon anciennes variétés au profit de
variétés calibrées + productives.
Lois de l’hérédité permettent une sélection scientifique basée
sur la génétique : sélection programmée :
1er temps :
Sélectionneur repère variété avc critères précis, puis par
autofécondations successives + tri indv intéressants lignée →
pure homozygote, génétiquement homogène et stable : variété « élite ».
Mais ↘
biodiversité cultivée + l’homozygotie affaiblit plantes de lignées pures.
2ème temps :
Croisements entre lignées pures / avc variété ancienne => obtention
hybrides + vigoureux et combinant caractères intéressants de leurs géniteurs.
Introduction.
Plantes = à la base de l’alimentation humaine de façon directe / indirecte→ ressources ds ≠ domaines : énergie,
habillement, médecine...
Utilisation des plantes par l’H = longue histoire, qui va des pratiques empiriques à la mise en œuvre des technologies les
plus modernes. => Domestication, conséquences sur les plantes + pop humaines.
I/ Domestiquer les espèces végétales sauvages pour les optimiser.
a) Un exemple : la domestication de la carotte.
- Observation à l'échelle macroscopique :
Racine C.S = très lignifiée (bois = xylème), grêle + blanche.
Racine C.C = peu lignifiée, très développée + orange.
- Bilan :
C.C = qualités nutritives (tubercule + gros) et gustatives (- de lignine) intéressantes.
- Observation à l'échelle moléculaire :
Couleur orange = au pigment : β carotène (+ chez la C.C, - chez la C.S).
Carotène = synthétisé grâce à un grp d’enzymes : PSY.
Les 2 gènes la codant = présents chez les 2 mais l’intensité de leur expression est ≠.
- Bilan :
Vision : H a besoin de carotène à partir duquel son organisme peut produire de la vitamine A.
H a sélectionné les carottes produisant le plus de carotènes.
b) L'évolution des techniques de sélection.
1) Une sélection empirique.
-11 000 ans : début culture plantes sauvages. Plantes cultivées ont divergé du pdv génétique sous l’effet des pratiques
culturales : processus de domestication / sélection artificielle.
Domestication d’une espèce = processus de sélection artificielle de caractères génétiques.
→ H a favorisé la reproduction de plantes avc caractères intéressants : sélection phénotypique.
En récoltant, sélectionnant les graines, utilisant c^ semences => modif de géné en géné les caractéristiques des espèces
cultivées.
Sélection empirique repose sur l’observation + tri des semences par les agriculteurs.
→ Plantes sauvages → domestiquées + dépendante de l’H pr leur reproduction + dvlpt.
→ Domestication a sédentarisé les H.
Sélection s’est fait lors de l’établissement d’une relation mutualiste entre plantes + H.
Espèces domestiquées permet la sélection artificielle. Sélection naturelle aboutit, pr une espèce domestiquée, à pls
variétés avc ≠ caractéristiques selon régions + techniques agricoles.
→ Biodiversité des plantes cultivées, importante car constitue une ressource génétique.
2) Hybridation et sélection programmée.
19/20è : transformation pratiques agricoles (industrialisation +
↗ rendements) => abandon anciennes variétés au profit de
variétés calibrées + productives.
Lois de l’hérédité permettent une sélection scientifique basée
sur la génétique : sélection programmée :
1er temps :
Sélectionneur repère variété avc critères précis, puis par
autofécondations successives + tri indv intéressants lignée →
pure homozygote, génétiquement homogène et stable : variété « élite ».
Mais ↘
biodiversité cultivée + l’homozygotie affaiblit plantes de lignées pures.
2ème temps :
Croisements entre lignées pures / avc variété ancienne => obtention
hybrides + vigoureux et combinant caractères intéressants de leurs géniteurs.