Résumé Bel-Ami
Georges Duroy = Bel-Ami, jeune homme au physique avantageux, rencontre —>
ascension sociale, vulgaire et ignorant, maîtresses et journalisme
Guy de Maupassant dénonce la société parisienne en expansion capitaliste et coloniale
Première partie, I :
28 juin, soir
Georges Duroy : ancien sous-o cier (hussard), n’a pas beaucoup d’argent, ressemble à
un méchant personnage, crève de faim car seulement 1500 francs/an aux bureaux du
chemin de fer du Nord
bocks, Rue Notre-Dame-de-Lorette
il veut une rencontre amoureuse (≠ prostituée), mais aime les endroits où grouillent les
lles publiques, les respectes
n’a pas l’argent pour un verre, colère; Normand monté sur Paris pour espérer faire fortune
Forestier (Charles) (27) = ancien hussard ; marié et journaliste ; a bien changé
—> familiarité facile car anciens camarades de régiment
les 2 se croisent -> La Vie Française, Duroy est surpris, activité; Jacques Rival
-> Napolitain, Forestier boit d’un coup, Duroy boit lentement savoure, comme quelque
chose de rare. Forestier propose que Duroy essaie le travail de journalisme, à La Vie
Française, pour au début 250 francs par mois, Duroy accepte. Lendemain : diner chez
Forestier avec d’autres invités, habits !!-> Forestier prête 2 louis à Duroy pour en acheter
-> âner -> Folies-Bergère (théâtre avec prostituées, jeunes hommes en maillot collant,
orchestres : bourgeois avec hommes et enfants), 1 (2) femme(s) a (ont) repéré Duroy, il
rougit. Forestier + Duroy -> jardin, guetteuses, les 2 grosses femmes reviennent, la brune
se dit séduite par Duroy. Duroy a bcp de succès auprès des femmes, il faut soigner ça
selon Forestier. Duroy est ensuite invité par la brune chez elle, il paie avec l’argent que
Forestier lui avait donné.
Première partie, II :
Le lendemain, souper chez Forestier, Duroy porte un habit pour la première fois, stressé,
peur d’être ridicule, mais se trouve satisfaisant, élégant, devient con ant. Il entre, perd
son aplomb, craintif. La femme de Forestier (Madeleine), ayant une gure irrégulière et
séduisante, bienveillante, l’attend, Duroy rougit, s’assoit, émotion incroyable. Les autres
invités arrivent, dont Jacques Rival et Norbert de Varenne. -> salle à manger, Duroya
gêné, peur de mal manier quelque chose. Discussion sur un procès (+ autres événements
récents) sans s’indigner, cherchant les causes profondes. Duroy n’ose pas placer un mot.
Ensuite, boit -> bien-être complet. Algérie : Duroy parle (riches, pauvres, prix en Algérie),
répons aux questions des autres, voulant plaire, raconte. Toutes les femmes ont le regard
tourné sur lui, il ferait de passionnants articles. Duroy est engagé chez La Vie Française,
triomphant, il se sent puissant, à sa place parmi ses gens. Duroy discute avec Mme
Walter, la femme de son nouveau directeur. Conversation ensuite avec Mme de Marelle,
s’occupant de lui, il s’en exalte intérieurement. Duroy veut embrasser la lle de Mme de
Marelle. Elle se laisse faire, étonnant. Duroy part ensuite, extrêmement heureux, voulant
conquérir.
Première partie, III :
Duroy rentre chez lui pour se mettre au travail. Dans les escaliers de son immeuble, il est
dégouté car c’est sale et veut sortir de là, habiter comme les riches. Contraste avec
l’immeuble dans lequel il était avant (il n’était pas dans son milieu mais s’y sentait mieux).
Il commence à écrire « Souvenirs d’un chasseur d’Afrique », mais n’a pas bcp
d’inspiration. Lit et habits de basse qualité. Chapeau de soie = unique objet à peu près
fi fl ffi fifi fi
, luxueux, lien entre son monde et le monde supérieur qu’il veut intégrer le plus vite
possible. Murs sales = misère. Il veut écrire mais désespère. Il se sent vide, inutile,
condamné. Il repense à ses parents (campagne). Il a vécu une ascension sociale (études
car les parents le voulaient mais bac raté —> petite ascension sociale). Succès auprès
des femmes au régiment. Il veut conquérir des femmes, et s’élever socialement. Travail
mais pas d’idée. Il veut de l’amour. Il va demander de l’aide à Forestier pour son article
sur l’Algérie. —> femme de Forestier, qui l’aide (écrire comme à un ami) : Algérie, Alger.
voyage, Duroy, major Simbretas, voyage, Oran, femmes, Saïda,… Duroy est
reconnaissant. Parlent de Mme de Marelle.+ comte de Vaudrec; Duroy part du tête-à-tête
romantique, mélancolique.
—> La Vie Française —> M. Walter, Norbert de Varenne, Jacques Rival (on peut compter
sur lui). M.Walter est content de recevoir l’article de Duroy, engagé pour remplacer
Marambot. Description par Forestier (chef de Duroy) du travail de Duroy. (pas impression
très sérieuse). 200 francs pas mois + 2 sous/ligne.
Duroy est joyeux.
Première partie, IV :
Duroy est très excité à l’idée de voir son article imprimé. Va chercher le journal, voit son
article, explosion de joie, veut que tout le monde le lise. Il va démissionner de son ancien
travail, en est heureux. Il exagère son salaire. Début sur l’Algérie = grand succès. Suite
attendue mais pas encore prête, c’est mal, il faut travailler. Saint-Potin va interviewer le
général chinois Li-Theng-Fao et le rajah Taposahib Ramaderao Pali et montrer à Duroy.
Instructions par Forestier (juif, Saint-Potin : « clichés »). Duroy n’a pas lu bcp de
littérature. Les autres employés sont mauvais selon Saint-Potin, Forestier a de la chance
d’avoir épousé sa femme. Ils ne vont pas interviewer les gens, juste copier mot pour mot
le dernier interview, car ils répondent tous la même chose. Duroy part, après proposition
de Saint-Potin. Il pense à des idées pour son article, mais quand il doit les écrire, n’y
arrive pas. Il a besoin d’une autre leçon, avec Mme Forestier. Va chez les Forestier le
lendemain matin. Forestier est furieux que Duroy revienne demander de l’aide. Il rentre
alors chez lui, en colère, et écrit (un chaos de folies). Il l’amène à La Vie Française, et
passe à la caisse, se croit riche.
—> Folies-Bergère, ment à la femme de la fois passée qu’il n’a pas d’argent.
Le lendemain, Duroy ne trouve pas son article dans La Vie Française, il n’y est pas car
Forestier ne l’a pas trouvé su sant ou car le patron l’a trouvé mauvais. Réécrit et refusé
encore 2 fois. Il a maintenant l’habitude de fréquenter des ministres, proxénètes,
rastaquouères,… Il devint un remarquable reporter, mais n’a pas assez d’argent. Il veut
rentrer dans « l’association tacite ».
Première partie, V :
En septembre (2 mois plus tard). Fortune lente à venir. Il est traité selon son rang : comme
un inférieur. Il n’a pas de relation, même si les femmes sont toutes attirées par lui.
—> Mme de Marelle, tout de suite con ance, intimité. Duroy la trouve tentante. La lle
(Laurine) de Mme de Marelle arrive, elle apprécie Duroy. Il part ensuite plein d’espoir.
2ème visite. Mme de Marelle invite Duroy à manger avec elle et les Forestier quelques
jours plus tard. Duroy en est excité.
Il y arrive le premier, puis Forestier, avec une familiarité cordiale (contrairement à au
bureau), puis les 2 jeunes femmes. Restaurant haut de gamme. Ce qui retient les femmes
de céder à un plaisir d’une heure c’est la peur du secret dévoilé(; avec lui ça va). Les 2
femmes le contemplent. Paroles subtiles, permettant aux gens du monde une sorte
d’amour subtile et mystérieux.
Duroy et Mme de Marelle dans un acre. Duroy ressent un très grand désir de la prendre
dans ses bras mais a peur du scandale. Il le fait. Ensuite elle est étourdie. Il est
ffi fi fi fi