CONTRÔLE DE GESTION : L’ensemble des actions, procédures et documents visant à aider les
responsables opérationnels à maîtriser leur gestion pour atteindre les objectifs. 5 tâches :
La prévision
Le conseil
Le contrôle
Le reporting
La mise au point des procédures
Donner à tous les responsables les moyens de piloter, de prendre les décisions propres à assurer le
devenir de l’entreprise, en ayant à leur disposition la connaissance la plus exacte et la plus rapide
possible de la situation actuelle.
CONTRÔLEUR DE GESTION : Il est le responsable du SI et contribue à sa conception par la définition des
fonctions et objectifs. Il contrôle les objectifs par (prévisions, programmes, budget…). Il veille à la
bonne utilisation du système pour accroitre la productivité. Il donne son avis et ses
recommandations.
- Concepteur du système de contrôle de gestion
- Responsable de la mise en œuvre et de son animation
- Conseils auprès de la direction générale et des opérationnels.
Adaptation du contrôleur de gestion, évolution :
- Dû à la mondialisation : libéralisation des échanges, nouvelles techniques de communication,
baisse du cout des transports.
- L’intensification de la concurrence : le client devient l’élément central, attention à la veille
technologique et commerciale
- L’évolution des systèmes d’information : apport des TIC, délocalisation saisie et traitement
données, reporting.
ANALYSE MICHEL LEBAS : Diagnostic d’entreprise. Le CG doit proposer un système équilibré de mesures
de performances sur le court terme.
- Capacités et performances stratégiques (flexibilité, qualité, satisfaction…)
- Efficacité et efficience des processus de gestion (qualité, audit)
- Qualité et bon fonctionnement des racines : Patrimoine, réseau.
INDICATEURS DE NORTON ET KAPLAN : indicateur globale selon 4 perspectives :
- Point de vue de la clientèle
- Point de vue interne
- Point de vue de l’innovation et de l’apprentissage
- Point de vue financier (actionnaires)
LA MISE EN ŒUVRE DES TABLEAUX DE BORDS : Le Cg doit concevoir le système de contrôle de gestion,
s’assurer de la fiabilité et de l’homogénéité des infos.
TABLEAUX DE BORDS : Support d’informations, de structure et de contenu stables sur une certaine
période de temps, utilisé de façon régulière pour accompagner une action ou une décision.
(Opérationnels, de gestion, stratégiques)
, NOTION DE TÂCHE : Premier niveau dans la description des travaux. Elle ne donne pas lieu à un calcul de
coût.
NOTION D’ACTIVITÉ : Combinaison de personnes, de technologies, de matières premières, de méthodes
et d’environnement qui permet de produire un produit ou un service donné. L’activité est une action.
- Action : Ensemble de tâches élémentaires réalisées par un individu ou un groupe d’individus
- Ressources consommés quantifiées en UO.
- Une production : Activité correspond à une production demandée
NOTION DE PROCESSUS : Ensemble d’activité menant à la réalisation d’un produit ou d’un service en vue
de satisfaire les besoins d’un client. L’entreprise est vue comme un réseau de processus
transversaux.
NOTION D’INDUCTEUR : Indicateur de volume d’activités. Lien de causalité entre la consommation des
ressources et des activités. Elément déclencheur des activités.
MISE EN ŒUVRE DE LA MÉTHODE ABC :
1. Identification des activités (observation) : différencier activités des tâches. Faire apparaitre
carte des activités, elles peuvent avoir des liens dans un processus.
2. L’affectation des ressources aux activités : Elles consomment des ressources (charges)
charges directes. Les charges antérieurement qualifiées d’indirectes pour les produits
deviennent directes pour les activités
3. Le choix des inducteurs : Rechercher les facteurs expliquant le mieux les consommations de
ressources.
a. Indicateurs de ressources : clef de répartition
b. Indicateurs d’activités : UO
4. Regroupement des activités et le calcul des coûts unitaires des indicateurs : Inducteurs
communs permet le regroupement des activités. Les coûts unitaires de l’inducteurs sont
calculés par le rapport volume des ressources/volume de l’inducteur.
5. La détermination des coûts de revient complets à base d’activité : Les charges indirectes des
centres de regroupement sont imputées aux coûts au prorata des inducteurs utilisés.
COUTS PARTIELS Méthode basée sur la distinction entre charges variables et charges fixes
COÛTS VARIABLES : son montant varie proportionnellement avec les variations de niveau d’activité,
mesuré par exemple par le nombre d’unités réalisées.
COÛTS FIXE : son montant n’est pas affecté par le niveau d’activité
SR : Le seuil de rentabilité ou point mort est le niveau d’activité à partir duquel le résultat est positif.
Point mort non atteint : augmenter les prix de vente, réduire les coûts fixes, diminuer le coût variable
unitaire
SR (en quantité) = CF/MSCVu
SR (en CA) = CF/ taux MSCV
SR en jours = (SR en CA*360) / CA annuel
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