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L'inconscient permet-il, au même titre que la conscience, de définit l'Homme ?

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Dissertation faite par mes soins. Je réponds à la question avec des exemples, des thèses certifiées, des citations et des références aux grands auteurs de la philosophie, mais bien sûr toujours au moyen de ma réflexion personnelle. J'avais un prof qui notait plutôt dur, et j'ai eu plus de ...

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  • 11 april 2023
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PHILOSOPHIE – Manuela Dung T°2 – Pour le 17/03/2022

« L’idée de surréalisme tend simplement à la récupération totale de notre force
psychique », déclare le poète André Breton (1896 – 1966), affirmant ainsi la place de l'inconscient
chez l'homme. L'inconscient peut être considéré comme une réalité psychique possédant un mode
de fonctionnement des caractéristiques propres, appartenant dans ce cas à la théorie freudienne
et au champ de la psychanalyse. Cependant, on le définit souvent comme ce qui est contraire à la
conscience, qui est la connaissance qu’a l’homme de ses pensées. Bien que de nombreux
philosophes aient appuyé l'importance de la conscience dans la définition de l’homme, celle de
l’inconscient reste à éclaircir depuis les travaux du psychanalyste Freud. Ainsi, on peut se
demander quelle place occupe l’inconscient dans la définition de l’homme et dans l’affirmation de
son humanité par rapport à la conscience ? Après avoir vu que la conscience occupe bien une place
prépondérante dans la définition de l’homme mais qu’elle est inconcevable sans l’inconscient,
nous étudierons que l’inconscient a tout de même une importance au moins équivalente à celle
de la conscience lorsqu’il s’agit de définir l’homme. Enfin, nous mettrons en évidence que c’est
l’homme lui-même qui, sans l’inconscient, est inconcevable.




En premier lieu, la conscience permet de définir l’homme. Elle est une condition de l’homme.
Mais l’inconscient est omniprésent par rapport à la conscience, tel son écho, qu’il s’agisse de
l’aspect psychologique de la conscience ou du jugement qu’elle permet d’établir qui tous deux
font partie de l’homme, jusqu’à une caractéristique fondamentale de celui-ci : la liberté.

Tout d’abord, c’est la conscience de soi qui permet de définir l’homme, puisque celle-ci
révèle à l’être humain sa propre existence. Elle permet d’établir une représentation de soi-même
et donne la capacité à définir « je ». Descartes la considère comme la première certitude. C’est la
seule chose qu’il ne remet pas en doute dans son Discours de la méthode : « cogito ergo sum ».
La conscience a en ce sens un rôle déterminant dans la définition de l’homme, en ce sens qu’elle
lui accorde une existence. Elle rend l’introspection possible, c’est-à-dire le fait de se penser soi-
même soit se contempler intérieurement en prenant de la distance par rapport à soi. Pour Kant,
cette existence, traduite par l’expression du « je » rendue possible par le langage soit la pensée
symbolique, est l’union des sensations expérimentées et des moments vécus par l’homme. Ainsi
l’homme devient-il un sujet pensant, qui ramène ses états à lui. C’est pour le philosophe une
grande partie de la valeur de l’homme. De même, Blaise Pascal écrira dans Pensées : « L’homme

, n’est qu’un roseau, le plus faible de la nature, mais c’est un roseau pensant ». Il souligne ainsi la
place prépondérante de la conscience dans la définition de l’homme. Et quant bien même cette
conscience fait savoir à l’homme sa petitesse dans l’univers, elle lui permet de ne pas être ignorant
à lui-même. Ainsi, être un homme, c’est avant tout se connaître.

Mais qu’est-ce que « je », finalement ? « Je » se résume-t-il à ce qu’on perçoit ? Ce qu’on ressent,
ce qu’on saisit intellectuellement ? Car finalement, l’introspection, c’est certes chercher des
réponses, mais c’est aussi prendre conscience qu’il y a des choses en soi que l’on ne comprend
pas, qu’on ne connaît pas, et auxquelles on ne prête pas attention. L’introspection, c’est certes
prendre conscience de ses pensées ainsi que du rôle de sa conscience, mais si l’introspection se
résume exclusivement à cela, alors elle n’est pas complète. Car il y a quelque chose qui devient
flagrant quand on est conscient de soi. C’est que « je » contient une part de mystère. C’est qu’on
ne peut pas tout comprendre. Le philosophe Leibniz prend ainsi conscience des petites
perceptions : « C’est une grande source d’erreurs de croire qu’il n’y a aucune perception dans
l’âme que celles qu’on aperçoit ». En effet, nous percevons une multitude de petites choses, sans
les identifier chacune, soit sans être conscients de chacune de ces perceptions. Ce dont on est
conscients, en revanche, c’est une perception principale que contribuent à former les moindres.
Le philosophe donne l’exemple du bruit du ressac de la mer, qui implique logiquement de
percevoir le bruit de chaque vague, lui-même composé du bruit de chaque gouttelette d’eau.

Ainsi, bien des choses dont nous sommes inconscients se passent en notre for intérieur et sont
essentielles à notre conscience, mais n’y parviennent que sous la forme d’une perception plus
globale, sans que cela ne nous empêche d’affirmer et d’exprimer ce que « je » ressens.

Une introspection superficielle nous fait connaître notre conscience, une introspection plus
poussée met en lumière la part d’obscurité en nous, soit l’inconscient, qui contribue à notre
existence. A l’ombre de la conscience, l’inconscient est pourtant bien existant en nous.

Ce n’est pas parce que j’existe et que je peux prouver cette existence par le seul fait de ma pensée
que je perçois toutes mes pensées. En moi, il y a aussi de l’inconscient, de l’inconnu, et le
reconnaître est une étape de plus vers la conscience, puisqu’être conscient, c’est se connaître et
savoir ce qui existe en moi.

D’autre part, la conscience est indispensable au jugement en ce sens qu’elle donne accès à
la connaissance et permet la réflexion. Or, ce que l’on sait et ce que l’on apprend est propre à

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