Le petit Nicolas
1. Un souvenir qu’on va chérir
Un matin, les élèves arrivent tous contents, propres et coiffés parce que l’école va prendre une photo de la classe
qui sera pour les garçons un souvenir qu’ils vont chérir toute leur vie. La maîtresse veut gronder Geoffrey parce
qu’il est habillé en martien. Il est habillé comme ça parce que son père est riche qui achète tous les jouets que
Geoffrey veut. Le photographe arrive avec son appareil et la maîtresse lui dit qu’il fallait faire vite, sinon ils
rateront le cours d’arithmétique. Agnan, qui est le premier de la classe et le chouchou de la maîtresse, regrette de
ne pas avoir d’arithmétique. Eude, qui est très fort, veut donner un coup de poing sur le nez d’Agnan, mais les
lunettes de Agnan le protègent. Puis le photographe a décidé qu’ils doivent mettre sur trois rangs ; le premier
assis par terre, le deuxième debout autour de la maîtresse et le troisième debout sur des caisses. Les garçons
doivent les chercher dans la cave où Rufus joue le rôle d'un fantôme et les autres rirent. La maîtresse se joint et
voit que les enfants sont sales, à part Agnan et Geoffrey. Si tous est prêt, Eudes trouve qu’il est le seul grand ici,
mais Geoffrey n’est pas d’accord et Eudes le donne un coup de poing et il a mal. Le photographe est irrité parce
que Geoffrey dit que son père a un meilleur appareil. Puis Alceste laisse tomber une tartine de confiture sur sa
chemise, il doit donc changer sa place avec Eudes pour que la tâche ne soit pas visible, mais Eudes ne veut pas et
il l'insulte. La maîtresse donne Eudes une punition, ensuite les deux garçons changent leurs places. Eudes donne
un coup de poing à Alceste et Alceste veut le frapper, mais c'est Agnan qui reçoit le coup de pied et il pleure. La
maîtresse punit aussi Alceste, ensuite elle dit aux les garçons que s’ils sont gentils, elle lèvera les punitions. La
maîtresse et les élèves ont souri pour prendre la photo, mais le photographe était parti, sans rien dire.
2. Les cow-boys
Nicolas et ses amis vont jouer aux cow-boys, Rufus vient comme un agent de police, parce que son père est un
agent de police. Eudes porte un boy-scout, une ceinture et deux revolvers, Alceste vient comme un Indien, mais il
ressemble comme un gros poulet. Geoffrey, qui a un papa riche qui lui donne tout ce qu’il veut, est venu comme
un cowboy et Nicolas a porté un masque noir, un mouchoir rouge et son fusil à flèches. Nicolas veut être le jeune
homme qui a un cheval blanc et les autres doivent être les bandits, mais les autres ne sont pas d’accord. Eudes
veut être le jeune homme avec le cheval blanc, mais Alceste dit qu’il ne peut pas l’être à cause de sa tête et Eudes
lui donne un coup de pied. Puis Rufus trouve qu’il doit être le shérif, mais Geoffrey n’est pas d’accord parce qu’un
shérif ne porte pas un képi et Rufus en porte un. Rufus lui donne des gifles et Geoffrey fait pan ! avec son révolver
et Rufus s’est appuyé les mains sur le ventre et tombé en faisant des tas de grimaces. Eude veut voler le cheval
imaginaire de Nicolas et il frappe Nicolas donc Rufus l’arrête. Mais Alceste dit qu’il est le shérif, ensuite il a cassé le
képi de Rufus quand ils se sont battus. Finalement Eudes a une idée, son idée est que les garçons les bons sauf
Alceste, qui est l’Indien. Il doit les capturer et les autres essaient délivrer le prisonnier. Alceste n’aime pas l’idée et
mange un petit pain au chocolat. Il veut jouer, mais à condition d’être un bon Indien à la fin et Geoffrey est
d’accord. Puis les autres se disputent pour savoir qui sera le prisonnier et ils battent. Le papa de Nicolas est sorti
et il propose d’être le prisonnier, mais le voisin monsieur Blédurt, qui aime taquiner le papa de Nicolas, veut aussi
jouer et il propose d’être un Indien (le peau-rouge Taureau Debout). Puis la maman de Nicolas a appelé les
garçons pour le goûter et après ils sont allés à la chambre de Nicolas jouer au train électrique. Le soir, le voisin est
parti mais, le père de Nicolas est toujours attaché à l’arbre criant et faisant des grimaces.
3. Le Bouillon
La maîtresse est malade, donc le surveillant monsieur Dubon a dit à Agnan, qui est le premier de la classe, de
surveiller ses camarades. On l'appelle le bouillon parce qu'il dit toujours "regardez-moi dans les yeux", et dans le
bouillon il y a des yeux. Le Bouillon a une grosse moustache et il punit souvent. Agnan veut commencer le cours
d’arithmétique, mais Clotaire ne veut pas et il appelle Agnan fou. Le Bouillon, qui est normalement chez le
directeur, entre la classe et donne une punition aux élèves sauf Agnan. Le Bouillon sort et Joachim se propose
pour guetter le surveillant à la porte, tout le monde est d’accord sauf Agnan. Quand Joachim ne voit personne,
Clotaire dit à Agnan de manger son livre d’arithmétique et ses lunettes. Geoffrey ne veut pas perdre de temps
avec des bêtises et il veut jouer à la balle, mais Agnan n’est pas d’accord. Puis ils entendent Joachim crier, parce
, qu’il s’était endormi donc il n'a pas vu que Bouillon est arrivé et il a reçu la porte contre son nez. Le Bouillon
emmène Joachim dehors et quand il retourne, il est fâché et il veut que les élèves prennent exemple sur Agnan,
puis il sorte la classe. Joachim dit que le coup de nez est la faute d’Agnan et Clotaire veut encore qu'Agnan mange
quelque chose. Agnan commence à pleurer et le Bouillon entre encore une fois et dit que s'il revient et voit
quelque chose d'anormal, il va donner des punitions. Puis il sorte la classe où il n'y a pas de bruit, mais après un
moment la porte s'ouvre lentement et un enfant crie c’est le Bouillon. Le Bouillon entre et demande qui l'a appelé
et les enfants commencent à s'accuser les uns les autres. Le directeur a entendu le bruit, il entre la classe et
demande au Bouillon ce qui se passe ? Le Bouillon répond qu’il ne sait plus. Le lendemain la maîtresse est
revenue, mais le Bouillon a manqué.
4. Le football
Alceste, qui est gros et aime manger, a donné rendez-vous à quelques copains, pour jouer le football parce que
son père lui a donné un neuf ballon. L’arbitre est Agnan parce que parce que les autres n'ont pas le droit de le
frapper à cause de ses lunettes. Agnan veut un sifflet, mais Rufus ne veut pas donner le sien, donc on a décidé
qu’Agnan prévient Rufus et Rufus siffle à la place d’Agnan. Maintenant il y a 17 joueurs. Parce qu’ils sont avec 17
joueurs, Maixent sera l’arbitre de touche qui doit agiter un petit drapeau chaque fois que la balle sorte du terrain.
Tout le monde veut être capitaine, sauf Alceste qui n’aime pas courir et veut être goal. Eudes veut être capitaine
parce qu’il est le plus fort et il va donner des coups de poing sur le nez. Geoffrey veut aussi être capitaine parce
qu’il est le mieux habillé et Rufus le veut aussi, sinon son père mettra les autres en prison. Puis Nicolas a alors une
idée, c’est-à-dire un tirage avec deux pièces, la première est perdue dans l'herbe et Joachim n’est pas content
parce qu’il l’a prêtée, mais Geoffrey lui a promis donner un chèque pour le rembourser. Finalement les deux
capitaines sont Nicolas et Geoffrey, mais ils veulent tous les deux Eudes parce que quand il court avec le ballon,
personne ne l’arrête et il fait peur. Joachim est content parce qu’il retrouve sa pièce de monnaie alors ils ont
demandé pour utiliser sa pièce de monnaie, mais ils ont perdu et Joachim est fâché. C’est à la courte paille que
Geoffrey a gagné Eudes et il veut que Eudes soit le goal. Dans chaque équipe, on discute les places de joueurs.
Dans l’équipe de Geoffrey ça va vite parce que Eudes frappe ses camarades et il veut aussi frapper les autres s'ils
ne finissent pas rapidement. Le match commence, mais Geoffrey dit que son équipe ne veut pas jouer sur le
mauvais côté du terrain. Nicolas répond qu’il doit fermer les yeux et peut-être il joue mieux et Geoffrey et Nicolas
commencent se battre. Rufus commence à siffler, mais Agnan n’a pas donné l’ordre et il lui dit d’arrêter mais cela
ne marche pas, puis Rufus court après Agnan pour le battre. Eudes aussi commence à donner des coups de poing
sur les nez de ses camarades. Alceste crie qu'ils s'arrêtent parce qu'il a oublié le ballon à la maison.
5. On a eu l’inspecteur
La maîtresse est nerveuse parce que l’inspecteur est dans l’école et les élèves doivent être sages pour faire une
bonne impression. Elle donne aux élèves de nombreuses recommandations comme ne pas rire sans sa
permission, parler sans être interrogé et laisser tomber des billes. Elle aussi dit à Alceste de ne manger pas et à
Clotaire de ne pas se faire remarquer. Puis elle regarde si la classe et les élèves sont propres et elle demande à
Agnan de mettre de l’encre dans les encriers. Quand il commence à verser dans les encriers, Clotaire crie que
l’inspecteur est là, mais c’est une blague et Agnan a versé l’encre sur le banc. Clotaire doit aller au piquet, mais il
ne veut pas et il dit que ce n’était pas une blague parce qu’il avait vu l’inspecteur et le directeur passer la cour. La
maîtresse dit que c'est bien pour cette fois et elle veut déplacer le banc au dernier rang où on ne le voit pas.
Quand ils commencent à déplacer les bancs, le directeur et l'inspecteur entrent. Les élèves se sont assis, mais
Cyrille et Joachim tournent le dos au tableau. L’inspecteur demande pourquoi ils sont placés comme ça et la
maîtresse répond c’est un petit incident et il dit aux garçons de mettre le banc à sa place. Puis l’inspecteur mis ses
mains sur le banc et demande aux les deux garçons pourquoi ils ont déplacé le banc et ils répondent qu'il y a de
l'encre. L’inspecteur voit l’encre sur ses mains et il trouve que les enfants ne sont pas disciplinés. Ensuite il raconte
une blague, mais personne ne rit parce que le professeur a dit de ne pas le faire. Alors, l'inspecteur demande à
Clotaire de raconter la fable du Corbeau et le Renard, Clotaire ouvre la bouche et commence à pleurer,
l'inspecteur demande donc à Rufus de le lui raconter. Il raconte qu’un corbeau avait un roquefort dans la bouche,
mais Alceste dit que c’était un camembert et les deux garçons se disputent. Tout le monde crie, sauf Agnan, qui
récit la fable et Clotaire qui pleure. L’inspecteur, la maîtresse et le directeur crient que c'est assez. L’inspecteur
prend un mouchoir pour s’essuyer son visage, il dit à la maîtresse qu’elle a toute sa sympathie et puis il sort la
classe avec le directeur.
