La structure de la celule microbienne. Les méthodes complexes de la
coloration. Les méthodes de Gram. Les caractéristiques de la structure et
l’activité des spirochètes, des mycobactéries, rickettsies et chlamydias. La
coloration de Tsil-Nilsene.
.
, Des multiples microorganismes sont strictement divisées en groupes définits (ou
catégories) qui se distinguent par les caractères biologiques (la morphologie, la
physiologie, la biochimie et d’autres).
La systématique est basée sur la notion d’espèce qui est un groupe microbien
avec les propriétés similaires. En général, l’espèce est génétiquement non-homogène,
c’est pourquoi on distingue plus étroitement taxone : une souche de cellules
homogènes caractérisées par la structure antigénique spécifique, par la morphologie
coloniale, par la virulence etc. De même on distingue le clone ou le groupe des
microbes cultivés à partir d’une cellule microbienne unique.
Les différentes espèces sont unies en genres, ces derniers- en familles et celles-
là- en taxones plus hautes (l’ordre, la classe, la section, le sous-règne, le règne). Tout
ceci appartient au domaine de la taxonomie (la partie de systématique). Le nom
d’espèce est formé de deux mots: le premier est le nom de genre et le deuxième est
celui d’espèce. On prend l’exemple de l’agent pathogène de typhus abdominal appelé
Salmonella typhi.
Parfois il faut souligner les caractères particuliers par lesquels se différencie
cette souche ou ce clone. On nomme de telles variantes des microbes en utilisant le
suffixe «var» comme terminaison. On peut citer les morphovars (différences en
morphologie), les sérovars (différences en composition antigénique) etc.
Structure des bactéries
Les principales structures sont la membrane cellulaire, le cytoplasme avec les
inclusions et le nucléoïde correspondant au noyau d’eucaryote.
La membrane cellulaire est composée de la membrane cytoplasmique, de la
paroi cellulaire et la couche muqueuse.
La membrane cytoplasmique ou interne. D’après sa composition, elle est
proche de la membrane cellulaire analogue humaine (la double couche de
phospholipides, les protéines supérficielles, intégrales et transmembranaires). Elle règle
la pression osmotique, participe au transport des substances et au fonctionnement de la
chaîne de transport des électrons à l’aide de ses enzymes respiratoires. Ainsi elle assure
la synthèse d’ATP.
La paroi cellulaire est une structure rigide qui détermine la forme bactérienne,
participe à la division cellulaire, au transport de diverses substances à l’intérieur de la
coloration. Les méthodes de Gram. Les caractéristiques de la structure et
l’activité des spirochètes, des mycobactéries, rickettsies et chlamydias. La
coloration de Tsil-Nilsene.
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, Des multiples microorganismes sont strictement divisées en groupes définits (ou
catégories) qui se distinguent par les caractères biologiques (la morphologie, la
physiologie, la biochimie et d’autres).
La systématique est basée sur la notion d’espèce qui est un groupe microbien
avec les propriétés similaires. En général, l’espèce est génétiquement non-homogène,
c’est pourquoi on distingue plus étroitement taxone : une souche de cellules
homogènes caractérisées par la structure antigénique spécifique, par la morphologie
coloniale, par la virulence etc. De même on distingue le clone ou le groupe des
microbes cultivés à partir d’une cellule microbienne unique.
Les différentes espèces sont unies en genres, ces derniers- en familles et celles-
là- en taxones plus hautes (l’ordre, la classe, la section, le sous-règne, le règne). Tout
ceci appartient au domaine de la taxonomie (la partie de systématique). Le nom
d’espèce est formé de deux mots: le premier est le nom de genre et le deuxième est
celui d’espèce. On prend l’exemple de l’agent pathogène de typhus abdominal appelé
Salmonella typhi.
Parfois il faut souligner les caractères particuliers par lesquels se différencie
cette souche ou ce clone. On nomme de telles variantes des microbes en utilisant le
suffixe «var» comme terminaison. On peut citer les morphovars (différences en
morphologie), les sérovars (différences en composition antigénique) etc.
Structure des bactéries
Les principales structures sont la membrane cellulaire, le cytoplasme avec les
inclusions et le nucléoïde correspondant au noyau d’eucaryote.
La membrane cellulaire est composée de la membrane cytoplasmique, de la
paroi cellulaire et la couche muqueuse.
La membrane cytoplasmique ou interne. D’après sa composition, elle est
proche de la membrane cellulaire analogue humaine (la double couche de
phospholipides, les protéines supérficielles, intégrales et transmembranaires). Elle règle
la pression osmotique, participe au transport des substances et au fonctionnement de la
chaîne de transport des électrons à l’aide de ses enzymes respiratoires. Ainsi elle assure
la synthèse d’ATP.
La paroi cellulaire est une structure rigide qui détermine la forme bactérienne,
participe à la division cellulaire, au transport de diverses substances à l’intérieur de la